En fait, on a empêché les gens d'exercer un petit boulot. Par exemple, un retraité ou un étudiant qui distribuait les journaux dix heures par semaine ne peut plus le faire, ou alors il lui faut une dérogation. Les gens qui fournissent des services à domicile et souhaitent disposer d'un contrat de travail de quelques heures – je ne dis pas que c'est de la précarité choisie – ne le peuvent plus. C'est une catastrophe ! Arrêtons, sous prétexte de protéger les gens, d'adopter des lois qui constituent une entrave au développement du travail !