Peut-être.
On parle de confiance dans la vie politique. Que vaut la confiance quand la parole donnée n'est pas respectée ? Vous avez fait vôtre cet argument en commission et en séance, soulignant qu'il est normal de voter comme un seul homme, ou une seule femme, pour appliquer le programme sur lequel on a été élu. Qu'en est-il enfin ? Nous voilà dans une position inconfortable, puisque nous sommes amenés à défendre vos propres propositions. C'est étrange.
On a évoqué un problème constitutionnel. Nous avons décidément un problème avec les véhicules ! Je vais devoir travailler cette question. Nous avons déjà eu une discussion interminable sur le sujet : il aurait évidemment fallu faire en même temps la loi ordinaire, la loi organique et la loi constitutionnelle.
La question du statut de l'élu est posée : j'ai entendu Mme Forteza nous faire une belle intervention sur l'avenir du statut de l'élu, il est vrai quelque peu hors sujet puisqu'il n'en est pas question dans ce texte. J'espère que nous y viendrons. Nous proposons une VIe République, avec une assemblée constituante.