Intervention de Barbara Pompili

Réunion du jeudi 7 juin 2018 à 15h00
Commission d'enquête sur la sûreté et la sécurité des installations nucléaires

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBarbara Pompili, rapporteure :

Le concept de l'exclusion de rupture est peut-être en contradiction avec les expériences post-Fukushima. Désormais, il faut envisager que tout peut arriver, y compris l'impossible. C'est ce que tous les acteurs que nous avons rencontrés au Japon, quels qu'ils soient, nous ont dit.

À Paluel, la chute d'un générateur était considérée comme impossible, à tel point qu'aucune alarme ne s'est déclenchée et que les personnels ne disposaient pas de référentiels sur la conduite à tenir, comme l'a souligné le rapport commandé par le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).

Ne devrait-on pas prévoir des référentiels pour toutes les possibilités d'accident ?

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Cette législature étant désormais achevée, les commentaires sont désactivés.
Vous pouvez commenter les travaux des nouveaux députés sur le NosDéputés.fr de la législature en cours.