Les débats très constructifs de la loi ÉLAN ont illustré des convergences de vue très fortes.
La première décision que nous avons prise, suite à des ajustements budgétaires malheureux de l'été dernier – je ne reviendrai pas sur certains propos tenus précédemment quant à l'insincérité des comptes antérieurs expliquant de tels ajustements, car je suppose que vous voyez de quoi je parle – , a été la sanctuarisation des crédits dédiés à la politique de la ville pendant tout le quinquennat.
S'agissant de péréquation, plusieurs l'ont rappelé – dont Mme Peyrol – la dotation de solidarité urbaine – DSU– en particulier dans les villes comportant des quartiers prioritaires de la ville – QPV – a été sanctuarisée et a même augmenté de 110 millions. C'était un engagement du Président de la République.
Vous avez évoqué la rénovation urbaine et l'insuffisance des crédits de paiement de 15 millions. Or c'était le montant exact que vous aviez prévu en loi de finances 2017 comme rapporteure générale