Le voilà, le pognon de dingue au bénéfice de quelques-uns et non d'un ruissellement qui ne viendra jamais.
Il y a le prétendu pognon de dingue que l'on donne aux vrais pauvres et le vrai pognon de dingue que l'on donne aux prétendus premiers de cordée, tel le patron de Carrefour, qui s'intéresse plus à lui qu'à sa cordée.
J'ai deux questions, madame la ministre : allez-vous cesser de mépriser les pauvres, ceux qui perçoivent les minima sociaux ? Allez-vous enfin vous attaquer au pognon de dingue que coûte votre politique fiscale ?