Cela m'amuse un peu de voir certains ici parler comme les médecins de Molière, qui, en leur temps, nous expliquaient qu'il fallait des saignées, toujours plus de saignées, pour soigner le malade, qui finissait par en mourir.
En réalité, je prends très au sérieux vos arguments. Mais convenez aussi qu'avec des politiques qui sont peu ou prou des politiques de l'offre, nées il y a des décennies en France, on a vu l'explosion du chômage à peu près partout, …