Je ne peux vous laisser affirmer cela sans vous rappeler le travail qui a été mené, d'abord au sein du Conseil national de la sécurité routière au sein duquel les avis des représentants de l'Assemblée nationale et du Sénat ont été entendus, auprès des associations représentatives des exécutifs locaux qui sont les premiers concernés par la mesure – je ne vais pas tous les citer puisque vous les avez rencontrés – , la consultation auprès du grand public effectuée sur le fondement du code de l'environnement, la consultation du Conseil national d'évaluation des normes qui a donné un avis favorable, mais également l'énorme travail d'information qu'effectue le délégué interministériel à la sécurité routière.