En outre, les axes les plus accidentogènes ont été déterminés à partir des remontées des observatoires départementaux et des données des gestionnaires de voirie qui connaissent leurs routes.
Il faut d'abord rappeler un premier point. Les fameuses zones d'accumulation d'accidents corporels – ZAAC – , qui étaient autant de taches sur notre territoire il y a encore trente ans, n'existent plus. Aujourd'hui, les accidents sont répartis de façon assez aléatoire dans les départements.