Le risque brut en cybersécurité est très élevé : il concerne les données personnelles de nos concitoyens et les données industrielles d'entreprises comme la nôtre. Nous nous outillons pour faire face à tout type de menace et, lors de ma première audition, j'avais détaillé les solutions retenues. Le cryptopass d'Ercom, destiné à prévenir les intrusions sur nos systèmes de communication visant des informations liées à la souveraineté ou des données commerciales, offre un bon niveau de sécurité tout en étant assez facile à utiliser. C'est parfois le danger de ce genre d'outil : l'accumulation de barrières peut compliquer son emploi au point que l'utilisateur renâcle à s'en servir. Ce cryptage des communications téléphoniques n'est qu'un petit élément de l'ensemble des solutions de cyber-sécurité que nous mettons en place. En tout cas, l'expérience est satisfaisante.