L'essentiel de la violence politique en France est le fait de la gauche qui revendique dans les médias les droits, la différence et les particularismes. C'est la gauche qui a agressé Robert Ménard devant les forces de l'ordre. À l'inverse, elle s'égosillait pour une affaire de tarte à la crème. C'est la gauche qui est venue semer le chaos à Fréjus, lors des dernières élections municipales, comme elle venait agresser les Orangeois en 1995 quand Jacques Bompard fut élu maire. C'est enfin la gauche qui a organisé sur internet une industrie du fichage des militants. Supplétifs des Renseignements généraux, les sites en question fournissent l'identité, l'adresse, les photographies des militants qui ne communient pas en ses idées. Leurs articles sont des incitations de fait au déchaînement de la violence dans les colloques, conférences et interventions de l'ensemble des conservateurs en France. Pour une raison qui m'échappe, nous n'en entendons que très rarement parler dans les médias. Alors que l'État intègre désormais une logique de protection des données, il semble important de lutter contre la diffusion de ces informations, diffusion qui est le préalable de lynchages.