Je soutiens quant à moi cet amendement. Nous sommes entrés dans une période que l'on nomme à juste titre l'Anthropocène, et pour cause : l'action humaine porte préjudice non seulement au climat mais aussi à la diversité biologique dans son ensemble. La notion d'êtres « vivants » est donc intéressante car elle nous permet de prendre la mesure des effets que nous produisons sur notre environnement. La notion d'Anthropocène fait l'unanimité parmi les scientifiques ; il faudrait l'inclure dans la Constitution, ici ou plus tard.