Inscrire le principe de non-régression du droit de l'environnement dans la Constitution, c'est l'arme de verdissement massif. Dans nos politiques environnementales, il existe aussi des notions de compensation, qui nous conduisent, sous les pressions, à lâcher dans tel ou tel domaine, ainsi que des problématiques d'acceptabilité. Je remercie en tout cas M. François-Michel Lambert d'ouvrir le débat, et je voterai cet amendement.