Les élections ont traduit un sentiment d'abandon des Italiens et un avertissement pour l'Europe, qui n'a pas su traiter convenablement le sujet des politiques migratoires. Dans la perspective des élections européennes, que faut-il craindre ? Sur le traité du Quirinal, je m'interroge sur la possibilité de prévoir la création d'une université franco-italienne à l'instar de l'université franco-allemande ?