Il ne s'agit pas ici de la liberté de choisir son avenir professionnel, mais de notre conception de la fonction publique, qui doit être un outil au service de l'intérêt général.
Il est vrai qu'au cours de nos débats, nous avons trouvé la voie d'une éclaircie pour les personnes aidantes, en leur ouvrant ensemble un droit à la formation, mais c'est trop peu pour sauver ce projet de loi. Ce dernier ne porte pas l'ambition d'une éducation permanente pour toutes et tous, chère à Marcel Rigout, d'une sécurisation des parcours, d'une élévation du niveau des connaissances et des qualifications, d'une valorisation du travail et des métiers.