Madame la ministre, il nous faudra vous réinviter car nous avons, pour certains, des « droits de suite », et, pour d'autres, des questions complémentaires à vous poser. Beaucoup de sujets n'ont pas été abordés, tels que les relations de l'Union européenne, et donc de la France, avec l'Afrique – un sommet Union européenne-Afrique devant se tenir d'ici à la fin de l'année –, la définition d'une nouvelle politique migratoire, l'approfondissement de la zone euro et de notre politique économique et sociale, les investissements européens et la relance européenne de l'industrie, des brevets, de la recherche et des nouvelles technologies. Bref, nous avons beaucoup de questions à vous poser, auxquelles vous serez, j'en suis sûre, heureuse de répondre à la rentrée. Nous reprendrons donc date avec vous. Au nom de tous mes collègues, je vous remercie de vos réponses et de votre disponibilité.