Ma question concerne la confidentialité entourant la gestion des habilitations. Outre le fait de s'aligner sur les pratiques mises en oeuvre par nos principaux partenaires, quels bénéfices faut-il attendre de la refonte du système d'habilitation, attendue pour le début de l'année 2019 ? Aujourd'hui classifié en trois niveaux – confidentiel, secret défense et très secret défense – le système ne contiendra à l'avenir que deux niveaux. Dès lors, cette évolution conduira-t-elle à davantage de transparence, ou les documents de niveau « confidentiel » seront-ils automatiquement classifiés « secret défense » ?