Vous avez souligné la nécessité pour l'exécutif de disposer d'un outil de classification du secret et d'une gestion des habilitations efficace afin de préserver la sécurité de notre pays. Les parlementaires n'ayant pas cette culture du secret, ils peuvent parfois être source d'indiscrétion lors de déplacements, de missions ou simplement, de conversations. Pensez-vous utile qu'ils suivent une formation de sensibilisation et de prévention, par exemple autour de l'usage des téléphones portables ?