Benoît Assémat, conseiller sécurité sanitaire au département risques et crises de l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) :
Non, monsieur le président. Lors de cette audition, je souhaitais insister sur deux choses : l'approche globale des risques ; la capacité d'agir dans le cadre d'une vision globale du sujet. C'est là-dessus qu'il faut, à mon sens, travailler.