Jusqu'à présent, la PAC n'a pas vraiment bien négocié son virage environnemental. Cette proposition de résolution européenne (PPRE) doit être un signal fort en faveur de la transition écologique et de la réduction de l'usage des produits phytopharmaceutiques.
Nous devons enfin avancer sur ce sujet : des aides et des investissements appropriés doivent être débloqués en soutien de cette transition écologique, qui doit être énergétique et robotique, car il nous faut trouver des alternatives aux pesticides et aux produits chimiques. Les cépages résistants, pour ne prendre que cet exemple, devraient être mentionnés dans cette PPRE : jusqu'à présent, ils ne sont pas autorisés dans les appellations. Il en va de même pour d'autres plantations et pour les recherches menées par l'Institut national de la recherche agronomique (INRA).