Une grande partie de la politique agricole commune a été fondée sur les exportations, qui ont parfois entamé la capacité de développement des paysanneries du Sud. Sans parler des stratégies d'accaparement des terres et de financiarisation.
La FAO, la Communauté européenne, l'APD, les syndicats et des ONG comme Agriculteurs français et développement international (AFDI) le disent : la politique agricole européenne doit revenir sur cette attitude prédatrice et pratiquer le codéveloppement et l'agriculture à taille humaine ! Si l'Assemblée nationale n'est pas capable de le dire, je ne comprends plus !