Merci, monsieur le président, de me permettre de répondre au discours que vous venez de prononcer. Je ne sais pas, d'ailleurs, si le verbe « répondre » est le plus approprié, tant je partage la quasi-totalité de vos propos. D'abord, nous avons tous conscience ici que la première année de cette législature a été intense, qu'il s'agisse du travail parlementaire ou des discussions qui ont nourri l'action publique dans ce pays. Jamais une assemblée nationale n'avait été aussi féminine.