La volonté du Gouvernement est bien de faire sortir du registre des représentants d'intérêts les associations cultuelles, revenant donc sur la loi du 11 octobre 2013, sous prétexte de différencier les représentants d'intérêts et les représentants d'idées. Rien ne justifie que nous acceptions que soient piétinés les principes républicains et qu'une entorse soit faite au principe de laïcité – car c'est bien de cela qu'il s'agit.