Je vous ai tous écoutés avec grand plaisir ; j'aimerais que vous m'écoutiez à votre tour. Je vois bien que la question déchaîne les passions, mais nous n'allons pas réécrire cette belle loi de 1905 aujourd'hui !
Partons du principe que les religions défendent un intérêt privé – même si ce n'est pas ce que je pense, ni la position du Gouvernement et du Président de la République. Dans ce cas, pourquoi exclure les syndicats ?