En conclusion, j'évoquerai un changement assez récent : les industriels se tournent désormais vers nous et nous sollicitent directement pour modifier leurs standards et faire évoluer leurs pratiques, en y intégrant plus d'environnement. Ce retournement de situation, que nous observons depuis trois ans, est peut-être un signal intéressant.
Je veux aussi rappeler qu'il existe un peu plus de 17 % de lycées agricoles en bio, donc bien au-dessus de la moyenne nationale des exploitations. On peut espérer que l'enseignement agricole, qui a toujours été en avance, continue de l'être.