À ce stade, il n'y a pas obligatoirement de travail de réalisé avec le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche (MESR). Les doyens se penchent sur la suppression du numerus clausus et sur la suppression des ECN puisque c'est le deuxième sujet sur la table – il avait été ouvert par le rapport de Jean-Luc Dubois-Randé et Yanis Mérad sur la réforme du second cycle.
Une réflexion a été lancée, dans le cadre de la stratégie de transformation du système de santé (STSS) qui est portée par trois pilotes, dont le député Thomas Mesnier qui fait partie de votre commission, et par les trois responsables du chantier de la formation professionnelle de la STSS, dont la députée Stéphanie Rist, également membre de votre commission, le MESR et nous.
La conférence des doyens commence donc à examiner quelles seraient les implications, les conséquences et les conditions d'une suppression du numerus clausus et, dans un second temps, d'une suppression éventuelle des ECN. Mais cela oblige, au-delà, à ré-envisager tout le dispositif du premier cycle et du second cycle ainsi, bien sûr, que la capacité de formation.
Il y a une capacité de formation un peu supérieure à celle d'aujourd'hui, mais elle n'est pas illimitée.