Nous sommes particulièrement attentifs à ce que les stages ambulatoires en médecine générale mais aussi dans les autres spécialités utiles en soins de premiers recours, se développent également à distance des villes pourvues d'une faculté, dans les zones considérées comme les moins attractives par les étudiants, pour des raisons d'éloignement, de logement… De ce point de vue, nous en sommes encore au stade de l'incitation – forte – avec une prime de 200 euros mensuels pour les transports et éventuellement un logement à temps partiel. Nous faisons un effort particulier pour recruter les maîtres de stage, comme vous le proposez. Nous nous rejoignons d'ailleurs souvent, en la matière, avec les représentants des collectivités locales qui souhaitent maintenir l'attractivité de leurs territoires. Nous avons demain une réunion avec tous les acteurs professionnels – y compris les représentants du ministère de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation – pour définir des stratégies encore plus ambitieuses.