Je suis interloquée par votre intervention, cher collègue : vous dites tout et son contraire. Vos arguments plaideraient plutôt en faveur d'une inscription dans la Constitution. Cela forcerait le législateur à trancher la définition de la dignité de la personne humaine et démontrerait une attitude volontariste. Il y a un débat aujourd'hui et dire que notre commission n'est pas habilitée pour s'en emparer me paraît très dangereux. Le Parlement est le lieu même où une décision à ce sujet doit être prise.