Je voudrais dire deux choses. La première, c'est qu'alors que l'hôpital a subi des faits d'une extrême violence en octobre 2016, la justice n'est toujours pas passée – on nous annonce qu'un jugement sera probablement rendu en mars 2018. L'affaire est pourtant claire, limpide : les agresseurs sont connus, les agressés aussi. On s'interroge donc sur la lenteur de la justice.