Nous nous déplaçons en effet devant vous, mais n'hésitez pas, de votre côté, à vous rendre à Bruxelles. Rien ne nourrit autant la compréhension mutuelle qu'un dialogue vivant.
Ce que vous dites sur la subsidiarité est vrai : il y a une tendance, dans certains États membres, à nationaliser, ou renationaliser, ce que nous avons construit ensemble, y compris en matière de marché unique. De manière sporadique, ils mettent des obstacles au développement du marché unique et engagent leur gouvernement à le compliquer. Ils ne le font pas de mauvaise foi, mais je constate là, à mon sens, un défaut d'information sur les avantages du marché unique.