La rédaction de l'amendement est, selon moi, un peu vague. Cela renvoie d'ailleurs à la philosophie du présent texte. Un article publié sur le site du Figaro a indiqué que, tout à l'heure, lors des questions au Gouvernement, M. Bazin avait parlé fortement dans l'hémicycle et qu'il avait été repris à la volée par M. le Premier ministre, citant Cyrano de Bergerac. Or il se trouve que ce n'était pas M. Bazin.