Je serai brève, monsieur le président. Nous avons expliqué aujourd'hui avec suffisamment d'insistance et de clarté pourquoi l'état d'urgence devait être prorogé : ce n'est pas qu'un symbole politique, le niveau de la menace demeure élevé.
Nous devons maintenant envisager une loi de transition, dont nous avons déjà commencé de débattre aujourd'hui. Je vous invite tous à y participer, car ce projet de loi est important ; pour notre part, nous sommes prêts à y travailler.