Vous avez présenté comme une avancée extraordinaire le vote de dispositions constitutionnelles visant à la réalisation d'objectifs en matière de défense de l'environnement et de la biodiversité, mais aussi de lutte contre le réchauffement climatique. Nous étions alors un certain nombre considérant qu'il fallait garantir ces nouvelles dispositions alors qu'on s'est contenté d'introduire le verbe agir. Alors que nous avons inscrit en première place, dans la Constitution, la défense de la biodiversité, la lutte contre le réchauffement climatique, nous considérons, dans un souci de cohérence, qu'il faut un vice-Premier ministre pour coordonner cette action.