Président Ferrand, je reconnais que vos arguments peuvent être entendus mais, dans notre esprit, il ne s'agit pas d'enjamber les prérogatives du Parlement, loin de là. Nous souhaitons au contraire qu'elles soient renforcées, nous voulons faire rayonner davantage la démocratie directe à l'initiative du Président de la République et forcément sur des grands sujets.