Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, madame la garde des sceaux, madame et monsieur les rapporteurs, Elsa Faucillon, Pierre Dharréville, Jean-Paul Lecoq et moi-même avons décidé de nous rendre dans un troquet parisien goûter la ferveur populaire et voir comment la France rassemblée dans sa diversité peut, dans un bonheur simple, cultiver le sentiment d'appartenance. Cela a été un moment de plaisir intense. J'imagine que, comme ancien maire de la ville du « club doyen », monsieur le Premier ministre, vous avez déjà connu, dans un tel partage, autant de plaisir et de bonheur que nous.
Or, ce bonheur éphémère immédiatement passé, je me suis demandé ce qui peut bien justifier qu'en pleine ferveur populaire, en pleine torpeur de l'été, en catimini, donc,