Nous voulons, au contraire, faire évoluer les modes d'exercice du pouvoir parlementaire.
En conclusion, mesdames, messieurs les députés, je souhaiterais, pour reprendre M. Becht, que nous puissions oser. Oser un débat qui ne repose pas sur des malentendus purement érigés pour des raisons strictement politiciennes, des malentendus ou des appréciations volontairement caricaturales. Les uns et les autres, nous avons besoin d'un débat réellement fondé et en mesure de faire progresser ce que nous souhaitons bâtir ensemble.