Messieurs les députés, il ne s'agissait nullement, ni dans mes propos, ni dans mon esprit, de faire référence à un quelconque esprit de colonialisme, mais bien aux valeurs universelles qui nous unissent. C'est cela que, symboliquement, je proposais de préserver : les valeurs universelles qui nous unissent et que l'on trouve énumérées dans ce second alinéa sous les termes de « l'idéal commun de liberté, d'égalité et de fraternité ».