L'article 58, alinéa 1, monsieur le président.
Mon collègue et ami Jean-Philippe Nilor, qui est cosignataire de cet amendement, a demandé à reprendre la parole après Mme la garde des sceaux. Il est d'usage qu'après la réponse d'un ministre, sur un sujet aussi important et alors que nous avons démontré que les mots visés sont caducs, obsolètes, périmés, nos collègues d'outre-mer puissent défendre leur position. Conserver ce membre de phrase est en effet une forme d'humiliation.
Je souhaite que Jean-Philippe Nilor, comme le député de n'importe quel groupe, puisse prendre la parole après la réponse de Mme la garde des sceaux.