Je ne pourrai donc malheureusement pas répondre au discours du ministre de l'économie et des finances en sa présence.
Celui-ci assume sa politique. Il a affirmé, comme d'habitude, qu'il fallait libérer le potentiel économique et alléger la taxation du capital, sans imposer d'ailleurs de contrainte supplémentaire par rapport à ce qui s'est fait à la fin de 2017. Il nous a certes parlé du chômage mais en restant sur sa ligne Maginot, celle de la baisse des déficits, de la baisse des dépenses publiques et des cadeaux au capital, qui sont, on l'a compris, « les investissements de demain et les emplois d'après-demain, et bla-bla-bla… »