Nous considérons pour notre part que nous devons, à l'article 1er, aborder la question du numérique. Une constitution du XXIe siècle ne peut pas ignorer un tel sujet, avec tous les problèmes qu'il pose, de souveraineté mais aussi de protection des données !
J'entends que vous prévoyez d'avancer sur ce sujet en modifiant l'article 34, et nous vous en remercions. Mais je me permets d'insister, et cette question vous sera sans doute posée au Sénat : il faut réfléchir à un principe qui pourrait être inscrit à l'article 1er.