Je ne plaisante pas : à certains moments, c'est pesant ; on nous donne des leçons. Je suis profondément attaché à la diversité française, qui fait intrinsèquement partie de notre République. Et j'en ai assez d'entendre en permanence, y compris, je tiens à le dire, dans mon propre parti politique, qu'il faut accepter la nouvelle diversité sans reconnaître l'ancienne. Cela ne veut pas dire qu'il faut reconnaître les patois, mais cela signifie que nous avons contribué très largement à cette République, en Bretagne, en Corse, en Province, en Polynésie, …