Elle changerait l'approche, le regard que nos concitoyens et le ministère de l'éducation nationale portent sur ces langues, ainsi que la manière de les enseigner, le cas échéant, dans nos écoles.
Avant l'arrivée des premiers colons en Guyane, six nations amérindiennes parlaient déjà leur langue. Aujourd'hui, elles disent qu'elles ont subi un grave génocide.