Je suis assez effaré d'entendre les voix du conservatisme sur tous ces bancs. Nous n'avons aucun complexe à participer, en Martinique et ici, à la célébration du 14 juillet, au titre de notre appartenance républicaine, mais nous n'avons non plus aucun complexe à célébrer également le 22 mai 1848, date de l'abolition de l'esclavage.