Ce que nous avons vu émerger ces dernières années, c'est un nouveau risque social, auquel nous serons tous et toutes confrontés. Une partie de l'angoisse que j'entends nos concitoyens les plus âgés exprimer n'est pas seulement de l'angoisse pour eux-mêmes et leur retraite, elle concerne aussi ce qu'ils vont devenir ou ceux dont ils ont souvent la charge.
Il nous faut donc construire pleinement le financement et l'organisation de ce nouveau risque social. Nous ne pouvons plus longtemps l'ignorer, faire semblant !