Tel est le cas des ordonnances, qui ont assoupli le code du travail pour donner aux entreprises les marges de manoeuvre dont elles ont aujourd'hui besoin.
De même, nous avons voté la réforme de l'accès à l'université car, sur ce sujet, le Gouvernement ne s'est pas borné à prendre des mesures techniques. Il a eu l'audace de poser les jalons d'un changement plus profond.
Enfin, le nouveau pacte ferroviaire constitue aussi une réforme substantielle. Il fallait transposer les directives européennes d'ouverture du rail à la concurrence. Mais, avec le Sénat, nous sommes allés plus loin : nous avons concilié l'efficience économique avec l'aménagement du territoire et l'adaptation des acquis sociaux.
Un an après l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, il y a donc un bilan. Nous ne pouvions pas en dire autant à la fin du quinquennat précédent.