Madame la garde des sceaux, la Ve République a donné très peu de pouvoirs au Parlement, qui est assez décoratif en France – je le crois sincèrement. Lorsqu'on fait une réforme, on la fait pour soi mais ce sont toujours d'autres personnes qui l'appliqueront plus tard. Veillez simplement à ce qu'un jour, vous ne regrettiez pas les décisions que vous avez prises et les propos que vous avez tenus aujourd'hui.