Le sujet abordé par notre collègue Bernalicis est important. Il ne mérite pas d'être ainsi négligé, monsieur Ferrand. Vous êtes ici interpellé à deux titres : comme rapporteur général, mais aussi comme président de groupe.
Monsieur le président, il y a quelques mois, j'ai pris la plume pour vous écrire – je n'ai d'ailleurs pas souvenir de la réponse que vous m'avez alors adressée, mais elle a dû rester dans les services postaux de l'Assemblée nationale…