Je voudrais essayer de donner au président Jacob quelques arguments – bien que je les aie déjà donnés et qu'ils ne constituent en aucun cas une nouveauté.
Je répète, ici, devant vous – et je l'assume – , que le Gouvernement a besoin, sous l'autorité, et non, monsieur Hetzel, sous la tutelle du Président de la République, d'un peu de souplesse.