Je ne soutiens pas le fond de cet amendement, car les groupes d'opposition détiennent déjà des postes de vice-président et peuvent donc occuper le perchoir à intervalles réguliers.
En revanche, je voudrais défendre M. Wulfranc, car, lorsqu'il a présenté son amendement, j'ai entendu des rires sarcastiques, qui pourraient sous-entendre que cette proposition viserait à récupérer la présidence. Mais revenons à la réalité de cette réforme : avec la réduction d'un tiers du nombre de parlementaires, 15 % de proportionnelle et l'affaiblissement des représentations démocratiques des oppositions, il n'y aura malheureusement plus de groupe communiste à l'Assemblée nationale, …