Madame la ministre, pourriez-vous nous donner des précisions sur l'impact de la réglementation ITAR – International Traffic in Arms Regulations – sur nos exportations d'armement ? Je pense notamment au blocage de la vente d'une tranche complémentaire de Rafale à l'Égypte du fait d'un composant du missile SCALP.
Quand on parle d'exportations, on ne saurait oublier le soutien à l'exportation, le SOUTEX, qui constitue une mission à part entière de nos armées, comme je le soulignais dans mon rapport pour avis l'année dernière. La loi de programmation militaire prévoit qu'il bénéficie de recrutements. Pouvez-vous détailler la ventilation des effectifs entre les armées, la direction et les services ?