L'alimentation industrielle est aujourd'hui sur la sellette, notamment s'agissant des aliments ultra-transformés, dont la valeur nutritionnelle serait assez pauvre et qui serait facteur de maladies chroniques, obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, voire pathologies cancérogènes. Quelle analyse la profession fait-elle des recherches scientifiques et de l'état de la science sur ces questions ? Comment réagit-elle au niveau de ses productions ? L'engagement volontaire est-il suffisant pour répondre à l'état de la science sur la corrélation entre les aliments transformés et les pathologies chroniques ?